Une usine a besoin d’une cheminée
Saviez-vous que ...
... deux témoins matériels de la briqueterie, fondée en 1921 sur le plateau de Kesselt par Alfons Nelissen, subsistent encore aujourd’hui ? Il s’agit de la cheminée et d’un morceau de mur sur lequel on retrouve l’inscription, écrite en très grands caractères, « Parementsteenen » (Briques de parement), selon le terme en usage à l’époque. La famille Nelissen a explicitement exprimé le souhait que ces vestiges soient conservés sur le site de l’usine afin de rappeler en permanence des années pionnières des briqueteries Nelissen. Alfons Nelissen avait un dicton : une usine a besoin d’une cheminée ! Gaston Nelissen ne l’a jamais oublié et a mis un point d’honneur à maintenir la cheminée en l’état. Sa volonté a été respectée.
La cheminée faisait partie du four circulaire qui a remplacé le four de campagne. Elle culminait à l’origine à 37 mètres de haut, mais sa taille a ultérieurement été réduite d’environ 5 mètres, suite à un effondrement.
Aujourd’hui, la cheminée est un repère visuel qui peut être vu de loin au-delà de Kesselt. Un autre vestige physique de la briqueterie originale est une partie d’un mur qui servait à l’époque de porte d’entrée à la briqueterie de Kesselt. L’inscription sur le mur décrit l’activité perpétuée par Alfons Nelissen et ses descendants jusqu’à ce jour : « Fabrication de briques de parement » ! Il ne s’agit pas des pierres naturelles, mais de briques qui ont été façonnées à la main. Aujourd’hui, cette opération s’effectue de façon presque entièrement automatique. Le terme « briques de parement » désigne les briques de façade de façon générale. Elles sont utilisées pour recouvrir la façade d’une maison, d’un bloc d’habitations ou de tout autre bâtiment construit en briques, d’une manière élégante et distinctive.
... deux témoins matériels de la briqueterie, fondée en 1921 sur le plateau de Kesselt par Alfons Nelissen, subsistent encore aujourd’hui ? Il s’agit de la cheminée et d’un morceau de mur sur lequel on retrouve l’inscription, écrite en très grands caractères, « Parementsteenen » (Briques de parement), selon le terme en usage à l’époque. La famille Nelissen a explicitement exprimé le souhait que ces vestiges soient conservés sur le site de l’usine afin de rappeler en permanence des années pionnières des briqueteries Nelissen. Alfons Nelissen avait un dicton : une usine a besoin d’une cheminée ! Gaston Nelissen ne l’a jamais oublié et a mis un point d’honneur à maintenir la cheminée en l’état. Sa volonté a été respectée.
La cheminée faisait partie du four circulaire qui a remplacé le four de campagne. Elle culminait à l’origine à 37 mètres de haut, mais sa taille a ultérieurement été réduite d’environ 5 mètres, suite à un effondrement.
Aujourd’hui, la cheminée est un repère visuel qui peut être vu de loin au-delà de Kesselt. Un autre vestige physique de la briqueterie originale est une partie d’un mur qui servait à l’époque de porte d’entrée à la briqueterie de Kesselt. L’inscription sur le mur décrit l’activité perpétuée par Alfons Nelissen et ses descendants jusqu’à ce jour : « Fabrication de briques de parement » ! Il ne s’agit pas des pierres naturelles, mais de briques qui ont été façonnées à la main. Aujourd’hui, cette opération s’effectue de façon presque entièrement automatique. Le terme « briques de parement » désigne les briques de façade de façon générale. Elles sont utilisées pour recouvrir la façade d’une maison, d’un bloc d’habitations ou de tout autre bâtiment construit en briques, d’une manière élégante et distinctive.